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UFSE-CGT
Articles
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26 mars 2024 : une journée d’action qui exige des suites !
29 mars, par baille — Les retraité·e·s, uneDans un contexte national des plus nauséabonds où tout est utilisé pour limiter l'expression de la population, que cela soit les guerres, les attentats, les faits divers, tout est bon pour stigmatiser les individus.
Des privé·es d'emploi aux patient·es, en passant par la jeunesse et les retraité·es, nous serions toutes et tous, des nanti·es, voire des profiteurs de la société.
Plus de 120 initiatives sur l'ensemble du territoire ont rassemblé plus de 25 000 personnes, principalement retraité·es. Elles et ils ont été rejoint·es par des salarié·es, des privé·es d'emploi en lutte pour la revalorisation de leur rémunération.
Diverses initiatives ont été mises en place :
- Des conférences de presse autour de la présentation du simulateur de perte de pouvoir d'achat de la CGT ;
- Des points d'abonnements à Vie nouvelle (magazine des retraité·es CGT) ;
- Des signatures, en masse, de la pétition unitaire demandant l'augmentation immédiate de 10 % des pensions ;
- Des rencontres avec des élu·es au niveau local et national ;
- Des rassemblements devant les sous-préfectures ou préfectures, devant les sièges du Medef ;
- D'autres devant les ARS, sur la base de revendications de plus en plus présentes sur les thèmes de la santé et de la défense de la protection sociale.
La forte présence des médias (presse, audiovisuel) confirme l'intérêt partagé de la population et de notre organisation sur tout ce qui touche au pouvoir d'achat.
Les annonces du gouvernement sur les mesures d'austérité à venir, tant au niveau des retraites que de la protection sociale, ne laissent rien présager de bon pour l'avenir de la population, en particulier des retraité·es.
Cette belle journée de mobilisation appelle à de nouvelles initiatives !
D'ores et déjà, l'UCR-CGT met en débat la perspective d'une nouvelle journée d'action nationale sur l'accès à la santé pour toutes et tous, la défense de notre système de protection sociale, l'augmentation des retraites et la défense des services publics.
Montreuil, le 29 mars 2024
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Face aux expulsions, soutenons les mineur.es isolée.es du Collectif des Jeunes du Parc de Belleville ! Rassemblement samedi 30 mars
27 mars, par baille — Mobilisations, uneRassemblement samedi 30 mars à 14h sur le parvis du Centre Pompidou
Depuis plusieurs mois, des centaines de mineur.es isolé.es sans papier occupent le parc de Belleville. Pour la première fois, elles et ils se sont constitué.es en collectif en septembre 2023, le Collectif des Jeunes du Parc de Belleville.
En octobre dernier, près des 500 jeunes ont été délogé.es du jour au lendemain et de manière humiliante par la préfecture et envoyé.es dans 8 centres d'hébergement de manière provisoire. Depuis novembre 400 places de mise en abris ont été obtenues mais certaine.es continuent de vivre dans des campements à Paris.
Soutenue.s par les habitant.es du 20ème arrondissement, des associations, collectifs, organisations syndicales et des élu.es, il aura fallu de nombreux rassemblements, interventions auprès de la ville de Paris et occupations de lieux, comme dernièrement au Centre Le 104, pour obtenir des places d'hébergement.
Néanmoins, ces solutions ne sont pas pérennes. Pire, les gymnases les accueillant sont saturés et ne disposent pas des conditions d'hygiène nécessaires. Elles et ils sont parfois près de 150 pour 2 toilettes et 4 douches, souvent sans chauffage ni eau chaude.
À l'approche des Jeux olympiques les services de la préfecture se sont lancés depuis plusieurs semaines dans une opération de « nettoyage social » en délogeant des campements pour envoyer les sans-abris et en particulier les migrant.es dans des « sas » ou « lieux d'accueil provisoires » dans 10 régions. Ces mineur.es isolé.es risquent d'être dispersé.es le temps des JO, et sans aucune garantie d'obtenir un lieu d'hébergement pérenne à leur retour. De surcroît, elles et ils ont besoin de rester à Paris car leurs démarches et audiences, leurs cours de français ont lieu ici, les associations qui les suivent sont implantées ici. Les déplacer, c'est de nouveau les isoler et risque fortement de porter atteinte à leur santé mentale.
Les mineur.es isolé.es doivent être respecté.es et accompagné.es dans ce pays où les principes de fraternité et d'égalité sont gravés sur tous les frontons des écoles.
Ces jeunes exigent :
- de rester à Paris
- des logements pérennes chauffés avec des sanitaires suffisants
- une attestation d'hébergement les permettant de se déplacer sans être inquiété.es par les forces de l'ordre, notamment en période des JO
- la création d'un centre de santé dédié avec accueil de jour, centre de soins, psychologues, laverie, cantine et salles d'eau
- une couverture de santé
- l'accès aux transports gratuits
- l'accès à l'éducation publique et à une scolarisation sans conditions
- l'accès gratuit à la culture
Face aux coupes drastiques imposées par le Gouvernement dans le budget de l'État et de ses ministères, ces jeunes défendent à nos côté des services publics forts et véritablement ouverts à toutes et tous.
Nous alertons en particulier sur la nécessité impérieuse de maintenir et augmenter le budget en faveur des politiques culturelles afin de développer les dispositifs d'accès à la culture et de promouvoir davantage la démocratie culturelle, chacun.e étant porteur.euse de culture.
Afin d'apporter un soutien massif aux revendications essentielles de ces jeunes, nous vous invitons à nous rassembler ce samedi 30 mars à 14h sur le parvis du Centre Pompidou.
Nous vous appelons toutes et tous, habitant.es, associations, collectifs, organisations syndicales, élue.s à s'associer à cet appel en vous le réappropriant et en le diffusant le plus largement possible !Premier.es signataires de l'appel :
Cgt-Culture, Snam-Cgt Idf, Snac-Fsu Culture, Cgt-Paris, Cgt-Casvp, Ufse-Cgt, Cgt Educ'action, Supap-Fsu, Sud éducation Paris Solidaires, Sud éducation Sorbonne Université, Commission de Mobilisation du Travail Social IDF
Lien vers la collecte pour les jeunes du parc de Belleville :
https://www.helloasso.com/associations/liberte-egalite-papiers/formulaires/1– Appel unitaire en téléchargement
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JOP 2024 : la CGT interpelle le ministre de la Fonction publique
26 mars, par baille — Vie des Ministères et directions, uneMontreuil, le 25 mars 2024
A
Monsieur Stanislas Guérini,
Ministre de la transformation et de la Fonction publiquesObjet : Jeux Olympiques et Paralympiques [JOP] 2024
Monsieur le Ministre,
Nous nous permettons de vous interpeller sur les mesures prévues par la Direction Générale de l'Administration et de la Fonction publique concernant l'organisation et les conditions de travail des agent-es de la Fonction publique mobilisé.es pour les JOP 2024.
Nous pensons urgent la tenue, a minima, d'une nouvelle réunion en votre présence sur ces questions.
Depuis vos dernières annonces dans les médias s'agissant de mesures de compensations et d'aide pour les gardes d'enfant, aucune avancée concrète n'a été actée. La dernière réunion organisée par la DGAFP le 12 mars 2024 a simplement servi à échanger sur le projet d'instructions destiné aux secrétaires généraux des ministères de la Fonction publique d'Etat. Il n'a donc pas été possible de discuter de mesures communes aux 3 versants. De même, il n'a pas été possible d'échanger à partir d'éléments chiffrés concernant les agent-es mobilisé-es, celles et ceux qui auront besoin de gardes d'enfants et/ou de logements.
Nous n'avons pas non plus à ce jour la quantification de l'accroissement de l'activité générée par les JOP, mesure pourtant essentielle pour prévoir des recrutements à même de répondre aux besoins liés à cet évènement sportif.
Nous nous inquiétons tout autant des agent-es qui ne pourront pas prendre de congés cet été, auront une charge de travail trop importante, seront mis en congés d'office ou en télétravail imposé.
Comme vous le savez, un contentieux demeure s'agissant de la définition du concept de circonstances exceptionnelles. Seule l'existence de circonstances exceptionnelles durables, liées à des pandémies, des catastrophes naturelles, climatiques, nucléaires, à des actes terroristes, peut conduire les employeurs publics à imposer le télétravail pour concilier la protection des agent.es et la continuité du service public.
L'organisation des JOP en France est connue depuis plusieurs années – la décision a été prise par le CIO le 13 septembre 2017 ! Pour la CGT, il ne s'agit en rien d'une circonstance exceptionnelle
pouvant amener les employeurs publics à imposer le télétravail. Depuis le dernier semestre de l'année 2017, vous aviez le temps nécessaire d'anticiper, d'organiser et de planifier l'organisation des services publics, de la Fonction publique, les conditions de travail des personnels.Vous l'aurez compris, nous n'accepterons pas que les JOP permettent aux employeurs de détourner le droit sous prétexte « qu'il ne faudrait pas gâcher la fête ». Nous n'admettrons pas plus un dévoiement des missions, prévu pour répondre à des volontés politiques du tout sécuritaire pour certains délits de droit commun, ou à l'inverse prévu pour un relâchement de contrôle du droit du travail, contre le dopage ou pour des contrôles sanitaires. Aucune entrave ne doit être portée à l'encontre de l'exercice des politiques publiques de contrôle, des textes, des prérogatives et des
habilitations des personnels chargés de les mettre en oeuvre.La CGT formule de nombreuses propositions pour permettre de bonnes conditions de travail aux agent.es mobilisé.es, pour assurer l'exercice des missions sans en dévoyer les contenus, pour que les JOP ne laissent pas un héritage de reculs et de régressions sociales :
- Un dialogue social soutenu à tous les niveaux y compris sur les questions d'hygiène, de sécurité et de conditions de travail ;
- Une quantification précise des besoins en effectifs pour des recrutements pérennes ;
- Un cadrage fonction publique 3 versants ;
- Des compensations sous forme de prime inter-versant pour les contraintes inévitables ;
- Des mesures sociales en termes de frais de mission, de garde d'enfants, de logements, de transports qui répondent aux besoins ;
- Le respect du droit aux congés, à la déconnexion, au télétravail choisi, …
- Le respect des missions, y compris celles dédiées aux politiques publiques de contrôle, et des pouvoirs et des prérogatives des personnels qui les mettent en œuvre.
En attente de cette réunion en votre présence, nous vous prions, monsieur le ministre, de recevoir nos respectueuses salutations.
– Courrier CGT Fonction publique au ministre en téléchargement
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JOP 2024 : la CGT interpelle le ministre de la Fonction publique
26 mars, par baille — Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 (JOP 2024), uneMontreuil, le 25 mars 2024
A
Monsieur Stanislas Guérini,
Ministre de la transformation et de la Fonction publiquesObjet : Jeux Olympiques et Paralympiques [JOP] 2024
Monsieur le Ministre,
Nous nous permettons de vous interpeller sur les mesures prévues par la Direction Générale de l'Administration et de la Fonction publique concernant l'organisation et les conditions de travail des agent-es de la Fonction publique mobilisé.es pour les JOP 2024.
Nous pensons urgent la tenue, a minima, d'une nouvelle réunion en votre présence sur ces questions.
Depuis vos dernières annonces dans les médias s'agissant de mesures de compensations et d'aide pour les gardes d'enfant, aucune avancée concrète n'a été actée. La dernière réunion organisée par la DGAFP le 12 mars 2024 a simplement servi à échanger sur le projet d'instructions destiné aux secrétaires généraux des ministères de la Fonction publique d'Etat. Il n'a donc pas été possible de discuter de mesures communes aux 3 versants. De même, il n'a pas été possible d'échanger à partir d'éléments chiffrés concernant les agent-es mobilisé-es, celles et ceux qui auront besoin de gardes d'enfants et/ou de logements.
Nous n'avons pas non plus à ce jour la quantification de l'accroissement de l'activité générée par les JOP, mesure pourtant essentielle pour prévoir des recrutements à même de répondre aux besoins liés à cet évènement sportif.
Nous nous inquiétons tout autant des agent-es qui ne pourront pas prendre de congés cet été, auront une charge de travail trop importante, seront mis en congés d'office ou en télétravail imposé.
Comme vous le savez, un contentieux demeure s'agissant de la définition du concept de circonstances exceptionnelles. Seule l'existence de circonstances exceptionnelles durables, liées à des pandémies, des catastrophes naturelles, climatiques, nucléaires, à des actes terroristes, peut conduire les employeurs publics à imposer le télétravail pour concilier la protection des agent.es et la continuité du service public.
L'organisation des JOP en France est connue depuis plusieurs années – la décision a été prise par le CIO le 13 septembre 2017 ! Pour la CGT, il ne s'agit en rien d'une circonstance exceptionnelle
pouvant amener les employeurs publics à imposer le télétravail. Depuis le dernier semestre de l'année 2017, vous aviez le temps nécessaire d'anticiper, d'organiser et de planifier l'organisation des services publics, de la Fonction publique, les conditions de travail des personnels.Vous l'aurez compris, nous n'accepterons pas que les JOP permettent aux employeurs de détourner le droit sous prétexte « qu'il ne faudrait pas gâcher la fête ». Nous n'admettrons pas plus un dévoiement des missions, prévu pour répondre à des volontés politiques du tout sécuritaire pour certains délits de droit commun, ou à l'inverse prévu pour un relâchement de contrôle du droit du travail, contre le dopage ou pour des contrôles sanitaires. Aucune entrave ne doit être portée à l'encontre de l'exercice des politiques publiques de contrôle, des textes, des prérogatives et des
habilitations des personnels chargés de les mettre en oeuvre.La CGT formule de nombreuses propositions pour permettre de bonnes conditions de travail aux agent.es mobilisé.es, pour assurer l'exercice des missions sans en dévoyer les contenus, pour que les JOP ne laissent pas un héritage de reculs et de régressions sociales :
- Un dialogue social soutenu à tous les niveaux y compris sur les questions d'hygiène, de sécurité et de conditions de travail ;
- Une quantification précise des besoins en effectifs pour des recrutements pérennes ;
- Un cadrage fonction publique 3 versants ;
- Des compensations sous forme de prime inter-versant pour les contraintes inévitables ;
- Des mesures sociales en termes de frais de mission, de garde d'enfants, de logements, de transports qui répondent aux besoins ;
- Le respect du droit aux congés, à la déconnexion, au télétravail choisi, …
- Le respect des missions, y compris celles dédiées aux politiques publiques de contrôle, et des pouvoirs et des prérogatives des personnels qui les mettent en œuvre.
En attente de cette réunion en votre présence, nous vous prions, monsieur le ministre, de recevoir nos respectueuses salutations.
– Courrier CGT Fonction publique au ministre en téléchargement
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JOP 2024 : la CGT interpelle le ministre de la Fonction publique
26 mars, par baille — Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 (JOP 2024), uneMontreuil, le 25 mars 2024
A
Monsieur Stanislas Guérini,
Ministre de la transformation et de la Fonction publiquesObjet : Jeux Olympiques et Paralympiques [JOP] 2024
Monsieur le Ministre,
Nous nous permettons de vous interpeller sur les mesures prévues par la Direction Générale de l'Administration et de la Fonction publique concernant l'organisation et les conditions de travail des agent-es de la Fonction publique mobilisé.es pour les JOP 2024.
Nous pensons urgent la tenue, a minima, d'une nouvelle réunion en votre présence sur ces questions.
Depuis vos dernières annonces dans les médias s'agissant de mesures de compensations et d'aide pour les gardes d'enfant, aucune avancée concrète n'a été actée. La dernière réunion organisée par la DGAFP le 12 mars 2024 a simplement servi à échanger sur le projet d'instructions destiné aux secrétaires généraux des ministères de la Fonction publique d'Etat. Il n'a donc pas été possible de discuter de mesures communes aux 3 versants. De même, il n'a pas été possible d'échanger à partir d'éléments chiffrés concernant les agent-es mobilisé-es, celles et ceux qui auront besoin de gardes d'enfants et/ou de logements.
Nous n'avons pas non plus à ce jour la quantification de l'accroissement de l'activité générée par les JOP, mesure pourtant essentielle pour prévoir des recrutements à même de répondre aux besoins liés à cet évènement sportif.
Nous nous inquiétons tout autant des agent-es qui ne pourront pas prendre de congés cet été, auront une charge de travail trop importante, seront mis en congés d'office ou en télétravail imposé.
Comme vous le savez, un contentieux demeure s'agissant de la définition du concept de circonstances exceptionnelles. Seule l'existence de circonstances exceptionnelles durables, liées à des pandémies, des catastrophes naturelles, climatiques, nucléaires, à des actes terroristes, peut conduire les employeurs publics à imposer le télétravail pour concilier la protection des agent.es et la continuité du service public.
L'organisation des JOP en France est connue depuis plusieurs années – la décision a été prise par le CIO le 13 septembre 2017 ! Pour la CGT, il ne s'agit en rien d'une circonstance exceptionnelle
pouvant amener les employeurs publics à imposer le télétravail. Depuis le dernier semestre de l'année 2017, vous aviez le temps nécessaire d'anticiper, d'organiser et de planifier l'organisation des services publics, de la Fonction publique, les conditions de travail des personnels.Vous l'aurez compris, nous n'accepterons pas que les JOP permettent aux employeurs de détourner le droit sous prétexte « qu'il ne faudrait pas gâcher la fête ». Nous n'admettrons pas plus un dévoiement des missions, prévu pour répondre à des volontés politiques du tout sécuritaire pour certains délits de droit commun, ou à l'inverse prévu pour un relâchement de contrôle du droit du travail, contre le dopage ou pour des contrôles sanitaires. Aucune entrave ne doit être portée à l'encontre de l'exercice des politiques publiques de contrôle, des textes, des prérogatives et des
habilitations des personnels chargés de les mettre en oeuvre.La CGT formule de nombreuses propositions pour permettre de bonnes conditions de travail aux agent.es mobilisé.es, pour assurer l'exercice des missions sans en dévoyer les contenus, pour que les JOP ne laissent pas un héritage de reculs et de régressions sociales :
- Un dialogue social soutenu à tous les niveaux y compris sur les questions d'hygiène, de sécurité et de conditions de travail ;
- Une quantification précise des besoins en effectifs pour des recrutements pérennes ;
- Un cadrage fonction publique 3 versants ;
- Des compensations sous forme de prime inter-versant pour les contraintes inévitables ;
- Des mesures sociales en termes de frais de mission, de garde d'enfants, de logements, de transports qui répondent aux besoins ;
- Le respect du droit aux congés, à la déconnexion, au télétravail choisi, …
- Le respect des missions, y compris celles dédiées aux politiques publiques de contrôle, et des pouvoirs et des prérogatives des personnels qui les mettent en œuvre.
En attente de cette réunion en votre présence, nous vous prions, monsieur le ministre, de recevoir nos respectueuses salutations.
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