"Pour un Service public national d'Enseignement supérieur et de Recherche laïque, démocratique et émancipateur"

Menu ☰

Accueil > Syndicats > Occitanie > CGT-UT2J • Université Toulouse - Jean Jaurès

vendredi 14 octobre 2011

Les infos du syndicat CGT FERC Sup de l’Université Toulouse - Jean Jaurès.

Elections au CA : communiqué de la FERC-Sup CGT

Election partielle au Conseil d’Administration du 13 octobre 2011

Communiqué de la FERC-Sup CGT

Avec 36% des suffrages exprimés, la FERC-Sup CGT reste la première organisation syndicale chez les BIATOS et obtient le siège pour lequel les agents étaient appelés à voter ce jeudi 13 octobre. Deux élus CGT siégeront en CA : Fabrice Védère (élu en 2008) et Laurent Damien (nouvellement élu).

Un second siège était à pourvoir, dans le collège A des Professeurs d’Université. Le candidat du SNESup l’a largement emporté, alors que le candidat FERC-Sup CGT n’a recueilli que 3% des voix. Tout reste à faire pour convaincre ces agents qu’il est temps de se battre pour défendre nos acquis communs.

Cette élection était la première d’une série qui se poursuit :

  • vote électronique pour les CAPA et CAPN (BIATOS seulement) du 13 au 20 octobre,
  • vote pour le CT (BIATOS et Enseignants) le 20 octobre,
  • vote pour les CSQ (Enseignants seulement) le 20 octobre,
  • vote pour la CPE (BIATOS seulement) le 10 novembre.

Si le résultat chez les BIATOS est très encourageant, ce scrutin montre aussi qu’il ne faut pas baisser les bras et continuer à porter haut les revendications des personnels. Au CA, comme dans les différentes instances, les élus CGT refusent la co-gestion de la misère et se positionnent systématiquement du côté des agents, et contre les licenciements, les suppressions de postes et la dégradation des condition de travail.

La CGT appelle tous les personnels à se mobiliser pour les scrutins suivants, afin que les élus dans les différents conseils et commissions soient réellement porteurs des revendications des personnels, avec un discours clair et combatif.

Nous ne mesurons pas encore toutes les conséquences de la LRU, du passage aux RCE ou de l’intégration au PRES, même si nous en constatons quotidiennement les effets concrets. Les élus qui siégeront dans les conseils et commissions pour lesquels nous sommes appelés à voter ces jours-ci, auront un rôle déterminant. La clarté de leur discours et leurs positionnements lors des votes qu’ils émettront seront essentiels pour l’avenir de notre université et de ses personnels.

Ce sont des élus revendicatifs, fermes et déterminés dont nous avons besoin pour défendre nos intérêts collectifs, pas d’élus prêts à accompagner, d’une manière ou d’une autre, la politique de destruction du Service Public engagée au niveau national et parfaitement relayée localement par la direction en place.

C’est ce choix-là qui s’offre à nous lors des quatre prochains scrutins. Ne nous y trompons pas !

Université Toulouse 2 le Mirail, le 14 octobre 2011.