"Pour un Service public national d'Enseignement supérieur et de Recherche laïque, démocratique et émancipateur"

Menu ☰

Accueil > Syndicats > Occitanie > CGT-UT2J • Université Toulouse - Jean Jaurès

mardi 21 avril 2009

Les infos du syndicat CGT FERC Sup de l’Université Toulouse - Jean Jaurès.

Fermeture administrative de l’Université Toulouse 2

Le 20 avril 2009, les étudiants occupent la salle du Conseil de l’Université et proclament "l’Université Libre Toulouse Le Mirail".

Voir —> Article de La Dépêche du 21 avril.

Le 21 avril 2009,

le président décide la fermeture administrative de l’université jusqu’à nouvel ordre.

Après une discussion avec les organisations syndicales, et sous la menace d’une intervention policière décidée par le président, les étudiants évacuent le bâtiment de l’administration centrale de l’université le 21 avril à 16h.

Communiqué de presse

Étudiants et personnels en lutte, FERC-Sup CGT et FSU

Le 20 avril 2009, une assemblée générale de 2000 étudiants a décidé d’une action d’occupation de la salle du conseil de l’Université Toulouse 2-Le Mirail.

Après une destitution symbolique du président, les étudiants ont poursuivi cette occupation jusqu’au lendemain, le 21 avril à 16h.

Les représentants des syndicats de personnels présents ont constaté qu’il n’y avait pas eu de violence ni de réelles dégradations.

Pendant cette occupation, les étudiants n’ont consulté que des dossiers concernant les projets de partenariat public privé (PPP) et de privatisation de l’université. Lors de
l’évacuation du bâtiment de l’administration centrale, les représentants des syndicats de personnels présents ont été témoins de la restitution de ces quelques dossiers aux agents
de sécurité présents sur les lieux à ce moment-là.

Alors que le président de l’université avait décidé de faire intervenir les forces de l’ordre, les étudiants ont décidé, en toute responsabilité, d’évacuer le bâtiment et d’éviter ainsi tout affrontement.

Les étudiants et personnels en lutte et les syndicats FERC-Sup CGT et FSU réaffirment leur opposition à tout recours aux forces de l’ordre sur le campus et réclament la fin immédiate de la fermeture administrative de leur université.

Télécharger -

Voir —> Article de La Dépêche du 22 avril