L’extrême droite a été battue au deuxième tour des élections présidentielles le 24 avril, c’est un danger immédiat qui est écarté. Pour autant, l’entreprise de casse de nos droits collectifs, de nos services publics et le creusement des inégalités n’est pas stoppée. Pendant la campagne électorale, les annonces programmatiques et les « petites phrases » ont été très inquiétantes. Elles marquent la volonté de poursuivre et d’amplifier la politique menée depuis 5 ans : allongement de la durée du travail, retour de (...)