Dans une précédente communication au mois d’octobre dernier, nous avions évoqué les discussions en cours sur le « Plan de Sobriété Énergétique ».

Ce plan est actuellement mis en œuvre, notamment pour la période d’interruption pédagogique de février : nous constatons des décalages entre ce qui a été présenté et discuté, et ce qui se passe dans les services.

Pour rappel, parmi les engagements pris par la présidence :

• pas de télétravail imposé (si des bâtiments sont fermés, l’UGA devait proposer une relocalisation des agents dans d’autres bâtiments, ouverts et chauffés)
• préserver l’enseignement en présentiel

Nous tenons aussi à rappeler que les agents ne peuvent pas se voir imposer des jours de congés sans concertation préalable avec eux. Au vu des engagements pris sur ce Plan de Sobriété Énergétique, nous appelons les collègues à la plus grande vigilance sur cette concertation, qui doit être réelle et doit tenir compte au maximum des contraintes de toutes et tous (contraintes personnelles, familiales ou liées au travail).

Nous constatons aussi un manque de transparence concernant les mesures précises mises en place, qui ont un impact sur l’organisation du travail. Ce manque de transparence met en difficulté de nombreux agent·es mais aussi prestataires extérieurs.

Nous vous invitons à prendre contact avec nous si vous avez des questions par rapport à ce Plan de Sobriété Énergétique, ou si vous constatez dans votre service, laboratoire ou composante que les mesures prises semblent contraires aux engagements de la présidence.

Voir aussi notre communication d’octobre sur le Plan de Sobriété Énergétique