Vous faites encore presque partie de ceux que l’on appelle « les jeunes » (dynamisme, foi en l’avenir, vigueur, etc…). Et pourtant, vous avez fait de très longues études : licence, master, puis thèse, que vous avez achevée après de longues années de labeur dans un contexte hostile de crise économique, de dénigrement des disciplines littéraires, de pénurie dans les universités, etc… Vous avez tenu parce qu’on vous parlait de la fin du tunnel, de la fin de la thèse, de la vie qui redeviendrait toute rose une (...)