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Articles
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Réunion salariale du 14 mars 2024 : toutes les organisations syndicales de la Fonction publique claquent la porte !
14 mars, par baille — Expressions, uneDÉCLARATION UNITAIRE A LA RÉUNION DU 14 MARS 2024
Nos organisations syndicales estiment que la réunion de ce jour ne peut se substituer à leur demande d'une véritable négociation salariale.
Elles soulignent par ailleurs que le document qui leur a été adressé avant-hier soir ne saurait constituer une base pour un quelconque diagnostic sur les rémunérations dans la fonction publique compte tenu du choix hautement partial des éléments présentés.
C'est cette négociation, permettant de manière urgente d'aboutir à des augmentations générales pour 2024, qui demeure la priorité pour les agentes et les agents.Nous regrettons que le ministre s'exonère des dispositions législatives en n'ayant pas organisé cette négociation pendant la durée du préavis de grève.
Pour répondre aux revendications des personnels, la journée d'actions, de grève et de manifestations du 19 mars n'en est que davantage justifiée.
Nos organisations attendent des documents d'une autre nature, indispensables pour un diagnostic objectivé. En leur absence et dans le contexte de la journée du 19 mars, elles quittent donc la séance.
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JOP 2024 : Pas de trêve olympique pour la CGT Fonction publique !
12 mars, par baille — Vie des Ministères et directions, uneLa CGT Fonction publique a enfin obtenu du ministère de la Transformation et de la Fonction publiques :
- La tenue de réunions régulières pour l'organisation de l'activité professionnelle des nombreux agent.es mobilisé.es pour les Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) et la reconnaissance de leur implication.
- Des concertations sur les critères d'attribution et de modulation sur les primes JOP et sur la mise en place de prestations interministérielles d'action sociale pour les agent.es mobilisé.es qui en auront besoin.
Une nouvelle réunion a eu lieu ce 12 mars, à la Direction Générale de l'Administration et de la Fonction publique (DGAFP).
Premières propositions de la DGAFP :
– Sur les paliers des primes :
- 500 euros : situations d'accroissement temporaire d'activité conduisant à une contrainte ponctuelle sur la prise de jours de congés ;
- 1000 euros : situations d'accroissement temporaire d'activité conduisant à une contrainte soutenue sur la prise de jours de congés ;
- 1500 euros : mobilisation élevée avec une forte limitation du nombre de jours de congés à partir de mi-juin et jusqu'à mi-septembre 2024 ;
- 1900 euros à titre dérogatoire pour les personnels exerçant des missions de sécurité publique et ceux dont les missions sont directement liées à la sécurisation des jeux.
– Sur les critères d'octroi des primes :
- La durée de mobilisation des agent-es ;
- La limitation effective du nombre de jours de congés pendant la période estivale ;
- Un accroissement temporaire significatif de l'activité ;
- Des horaires ou rythmes atypiques, notamment le week-end ;
- Des affectations temporaires hors du lieu d'exercice habituel.
Sur l'offre de garde et d'activités pour les enfants des agent-es mobilisés, la DGAFP propose un accès facilité aux crèches et aux séjours et activités de loisirs. Des chèques emploi service universel (CESU) seraient prévus en complément de ce qui existe déjà pour la garde d'enfants de 0 à 6 ans pendant les JOP ; Sans plafond de ressources, le montant des CESU JOP serait de 200 euros par enfant pour un couple et 350 euros par enfant pour une famille monoparentale.
La CGT Fonction publique estime que les garanties d'une égalité de traitement pour tout-es les agent-es mobilisé.es ne sont pas complètement assurées à ce stade, que les dispositifs d'accompagnement ne sont pas suffisants, que les besoins en personnels pour l'accroissement de l'activité ne sont pas correctement anticipés.
Parce que les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 devraient laisser un héritage fort en droits sociaux et non pas en reculs sociaux, la CGT Fonction Publique continue à revendiquer l'ensemble des droits et garanties suivants :
- Un cadrage 3 versants pour tous les dispositifs spécifiques aux JOP ;
- La création d'un régime indemnitaire interministériel et inter-versant basé sur des critères précis et contraignants pour tous les employeurs ;
- La garantie de l'indemnisation de chaque jour télétravaillé ;
- La révision et la revalorisation de frais de mission pour tous les agents pour tenir compte des hausses liées aux JOP -hébergement, transport, restauration ;
- L'identification des supports indemnitaires mobilisables et la transparence sur les enveloppes budgétaires ;
- Un logement pour tout agent mobilisé.e ;
- Un accueil (en crèche, centre de loisirs, colonie, …) pour les enfants des agent.s mobilisé.es si nécessaire ;
- Des recrutements pérennes pour l'accroissement de l'activité,
- La possibilité d'accès aux différents sites sans accréditation pour les professionnels de contrôle,….
Par tout moyen, la CGT Fonction publique continuera à porter des revendications pour une vraie reconnaissance de l'engagement des agent-es, pour des conditions d'exercice digne et correct, des prises en charge adaptées et des moyens mis à disposition, un respect de l'articulation vie professionnelle et vie personnelle et familiale.
Montreuil, le 12 mars 2024
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JOP 2024 : Pas de trêve olympique pour la CGT Fonction publique !
12 mars, par baille — Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 (JOP 2024), uneLa CGT Fonction publique a enfin obtenu du ministère de la Transformation et de la Fonction publiques :
- La tenue de réunions régulières pour l'organisation de l'activité professionnelle des nombreux agent.es mobilisé.es pour les Jeux Olympiques et Paralympiques (JOP) et la reconnaissance de leur implication.
- Des concertations sur les critères d'attribution et de modulation sur les primes JOP et sur la mise en place de prestations interministérielles d'action sociale pour les agent.es mobilisé.es qui en auront besoin.
Une nouvelle réunion a eu lieu ce 12 mars, à la Direction Générale de l'Administration et de la Fonction publique (DGAFP).
Premières propositions de la DGAFP :
– Sur les paliers des primes :
- 500 euros : situations d'accroissement temporaire d'activité conduisant à une contrainte ponctuelle sur la prise de jours de congés ;
- 1000 euros : situations d'accroissement temporaire d'activité conduisant à une contrainte soutenue sur la prise de jours de congés ;
- 1500 euros : mobilisation élevée avec une forte limitation du nombre de jours de congés à partir de mi-juin et jusqu'à mi-septembre 2024 ;
- 1900 euros à titre dérogatoire pour les personnels exerçant des missions de sécurité publique et ceux dont les missions sont directement liées à la sécurisation des jeux.
– Sur les critères d'octroi des primes :
- La durée de mobilisation des agent-es ;
- La limitation effective du nombre de jours de congés pendant la période estivale ;
- Un accroissement temporaire significatif de l'activité ;
- Des horaires ou rythmes atypiques, notamment le week-end ;
- Des affectations temporaires hors du lieu d'exercice habituel.
Sur l'offre de garde et d'activités pour les enfants des agent-es mobilisés, la DGAFP propose un accès facilité aux crèches et aux séjours et activités de loisirs. Des chèques emploi service universel (CESU) seraient prévus en complément de ce qui existe déjà pour la garde d'enfants de 0 à 6 ans pendant les JOP ; Sans plafond de ressources, le montant des CESU JOP serait de 200 euros par enfant pour un couple et 350 euros par enfant pour une famille monoparentale.
La CGT Fonction publique estime que les garanties d'une égalité de traitement pour tout-es les agent-es mobilisé.es ne sont pas complètement assurées à ce stade, que les dispositifs d'accompagnement ne sont pas suffisants, que les besoins en personnels pour l'accroissement de l'activité ne sont pas correctement anticipés.
Parce que les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 devraient laisser un héritage fort en droits sociaux et non pas en reculs sociaux, la CGT Fonction Publique continue à revendiquer l'ensemble des droits et garanties suivants :
- Un cadrage 3 versants pour tous les dispositifs spécifiques aux JOP ;
- La création d'un régime indemnitaire interministériel et inter-versant basé sur des critères précis et contraignants pour tous les employeurs ;
- La garantie de l'indemnisation de chaque jour télétravaillé ;
- La révision et la revalorisation de frais de mission pour tous les agents pour tenir compte des hausses liées aux JOP -hébergement, transport, restauration ;
- L'identification des supports indemnitaires mobilisables et la transparence sur les enveloppes budgétaires ;
- Un logement pour tout agent mobilisé.e ;
- Un accueil (en crèche, centre de loisirs, colonie, …) pour les enfants des agent.s mobilisé.es si nécessaire ;
- Des recrutements pérennes pour l'accroissement de l'activité,
- La possibilité d'accès aux différents sites sans accréditation pour les professionnels de contrôle,….
Par tout moyen, la CGT Fonction publique continuera à porter des revendications pour une vraie reconnaissance de l'engagement des agent-es, pour des conditions d'exercice digne et correct, des prises en charge adaptées et des moyens mis à disposition, un respect de l'articulation vie professionnelle et vie personnelle et familiale.
Montreuil, le 12 mars 2024
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Les retraité.es ne se laisseront pas voler !
12 mars, par baille — Les retraité·e·s, uneAvec une augmentation des retraites de base de 5,3 % au 1er janvier 2024 (au titre de l'inflation de l'année 2023) et des retraites complémentaires de 4,9 % au 1er novembre, des économistes et politiciens voudraient nous faire croire que nous sommes bien loti·es ! Certaines et certains poussent même le vice jusqu'à trouver ces revalorisations indécentes et injustifiées.
Un comble, alors que près de 11 % des 9,1 millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté sont des retraité·es.
Beaucoup de retraité·es s'interrogent sur leur capacité à faire face aux dépenses incompressibles, dans un contexte où les prix des produits de grande consommation, du logement et de l'énergie ne cessent d'augmenter (+ 4,5 % sur 1 an en janvier 2024), où les franchises et participations forfaitaires médicales viennent de doubler. Il n'est pas étonnant, dans ce contexte, que près de la moitié des 17 millions de retraité·es hiérarchisent leurs dépenses, dans le meilleur des cas, reléguant celles « non vitales » au dernier rang.
Lire la suite dans le tract UCR-CGT
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Les retraité.es ne laisseront pas voler !
12 mars, par baille — Les retraité·e·s, uneAvec une augmentation des retraites de base de 5,3 % au 1er janvier 2024 (au titre de l'inflation de l'année 2023) et des retraites complémentaires de 4,9 % au 1er novembre, des économistes et politiciens voudraient nous faire croire que nous sommes bien loti·es ! Certaines et certains poussent même le vice jusqu'à trouver ces revalorisations indécentes et injustifiées.
Un comble, alors que près de 11 % des 9,1 millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté sont des retraité·es.
Beaucoup de retraité·es s'interrogent sur leur capacité à faire face aux dépenses incompressibles, dans un contexte où les prix des produits de grande consommation, du logement et de l'énergie ne cessent d'augmenter (+ 4,5 % sur 1 an en janvier 2024), où les franchises et participations forfaitaires médicales viennent de doubler. Il n'est pas étonnant, dans ce contexte, que près de la moitié des 17 millions de retraité·es hiérarchisent leurs dépenses, dans le meilleur des cas, reléguant celles « non vitales » au dernier rang.
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