Alors que, à Gaza, le nombre de morts a pris une ampleur effroyable (34.500 morts, une immense majorité d’enfants et de civils), alors que la famine se développe, alors que le gouvernement israélien annonce vouloir intervenir à Rafah, alors que la mobilisation se développe dans les campus américains de façon inédite depuis la guerre du Viet Nam, des étudiantes et étudiants se mobilisent en France, car le massacre odieux du 7 octobre par le Hamas ne saurait légitimer le massacre effroyable en cours à (...)