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UFSE-CGT
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Elections européennes du dimanche 9 juin 2024
19 avril, par baille — Europe, une, newsletter-rappelL'Europe s'occupe de vous
Salarié·es, retraité·es, que vous le vouliez ou non, les règles européennes impactent de plus en plus votre vie et votre travail. Les directions d'entreprises et les actionnaires l'ont compris : ils s'organisent à tous les niveaux. Les syndicats aussi, et c'est pourquoi la CGT fait partie de la Confédération Européenne des Syndicats pour être plus forts encore.
Ensemble, nous nous battons pour plus de protection sociale et environnementale, plus d'égalité, de partage et solidarité.
Ça n'est pas la vision du gouvernement Macron qui œuvre à protéger les seuls intérêts des plus riches. C'est encore moins l'action du Rassemblement national et de l'extrême droite en Europe dont les votes au Parlement trahissent le vrai projet.
Le 9 juin chaque voix compte.
De la rue aux urnes
Dans la suite de la mobilisation contre le report de l'âge de départ à la retraite et alors que le gouvernement Macron ne cesse de s'en prendre à celles et ceux qui travaillent et créent les richesses et font tourner nos services publics, la CGT appelle tou·tes les salarié·es, privé·es d'emploi et retraité·es du pays à voter aux élections européennes du dimanche 9 juin 2024.ATTENTION : il faut être inscrit·e sur les listes électorales avant le 1er mai. Vérifiez votre situation sur service-public.fr
– Tract CGT « L'Europe s'occupe de vous »
– Argumentaire militant : les enjeux de l'élection européenne pour les salarié.es
Pour aller plus loin, consulter le site de la CGT
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L’intersyndicale de l’ESR appelle à une journée morte dans les INSPE et dans toutes les composantes portant les formations MEEF le lundi 6 mai 2024
18 avril, par baille — Éducation, recherche, jeunesse et sportLes pseudo-annonces du président sur la réforme de la formation des enseignant·es le 5 avril dernier, alors qu'un document de travail du gouvernement intitulé “Les écoles normales du XXIe siècle” circulait, n'ont pas rassuré les équipes qui seront chargées de mettre en œuvre cette réforme dès septembre 2024.
De nombreuses motions et communiqués se font l'écho des inquiétudes et interrogations des personnels et des étudiant·es concernant notamment :
■ le calendrier trop contraint compte tenu des incertitudes de toute nature qui subsistent ;
■ le caractère réellement universitaire de la formation à venir, tant sur la gouvernance que sur les contenus et les diplômes délivrés ;
■ la transformation des formateurs et formatrices en simples exécutant·es de maquettes venues d'en haut et ne répondant pas aux vrais enjeux de l'enseignement ;
■ les imprécisions concernant l'articulation entre les futures écoles normales du 21ème siècle (ENSP) et les composantes universitaires, INSPE notamment, et l'avenir de tous leurs personnels avec de fortes craintes pour le maintien des emplois en INSPE ;
■ le manque de visibilité sur les modalités et le financement des modules de préparation aux concours à mettre en place pour la rentrée 2024, sur le nombre de postes, le nombre d'années de transition, etc ;
■ les annonces floues et qui se contredisent notamment sur les conditions de rémunération durant le master.Pour nos organisations, il est complètement irresponsable de vouloir mettre en place cette réforme pour la session 2025 du concours, à moins de 5 mois de la rentrée alors qu'aucune maquette de licence n'est prête et que les programmes des concours ne sont pas connus. Nous demandons le report de cette réforme et l'ouverture immédiate de réelles concertations. Nous dénonçons le mépris inacceptable vis-à-vis des personnels et des étudiant·es et alertons une nouvelle fois sur la dégradation accentuée des conditions de travail et d'études occasionnée par cette énième réforme.
Dans ce contexte, nous invitons tous les personnels actuellement en charge de la formation des enseignant·es, les étudiant·es et plus largement l'ensemble de la communauté universitaire, à se faire entendre en organisant localement réunions d'information et assemblées générales.
Nos organisations appellent à une journée morte dans les INSPE* et dans toutes les composantes portant les formations MEEF** le LUNDI 6 MAI 2024.
Elles appellent à cette occasion les personnels et les étudiant·es à se mobiliser et à se rassembler devant les rectorats.
Paris, le 18 avril 2024
Signataires : SNESUP-FSU, SNASUB-FSU, SNEP-FSU, SNCS-FSU, SNETAP-FSU, FERC SUP CGT, SNTRS CGT, CGT INRAE, SUD ÉDUCATION, SUD RECHERCHE, SGEN CFDT, SNPTES UNSA, UNSA ITRF BIO, A&I- UNSA CJC, ANCMSP, UNION ÉTUDIANTE, FAGE, UNEF, FSE, FO ESR
– Appel de l'intersyndicale de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche en téléchargement
* Institut national supérieur du professorat et de l'éducation (INSPE)
** Master de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF) -
RAFP : mise en œuvre du mécanisme contributif Outre-mer
18 avril, par baille — Originaires d'Outre Mer, une, juridiqueVous avez ci-joint, le décret n° 2024-348 du 9 avril 2024 relatif à la cotisation volontaire au régime de retraite additionnelle de la fonction publique.
Également :
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LOGEMENT - Projet de loi KASBARIAN : INDECOSA-CGT appelle à une large mobilisation contre le projet de loi
18 avril, par baille — Logement, uneINDECOSA-CGT appelle à une large mobilisation unitaire des associations, syndicats et partis contre ce projet de loi.
Selon la Fondation Abbé Pierre, plus de 4 millions de personnes sont mal logées en France, tandis que près de 15 millions sont touchées par la crise du logement en raison du niveau très élevé des loyers et des prix immobiliers. 2,6 millions personnes se trouvent en liste d'attente pour obtenir un HLM. Nul ne conteste ces chiffres.
C'est dans ce contexte de crise gravissime du logement que la récente nomination du député Renaissance Guillaume Kasbarian comme ministre délégué au Logement est ressentie comme une véritable provocation parmi les associations de locataires et de lutte contre l'exclusion.
En effet, on se souvient que le député Kasbarian a déjà sévi contre le droit au logement en portant au parlement, en 2023, une proposition de loi « anti-squat » en réalité une loi « anti pauvres » prévoyant une peine de 6 mois de prison pour les locataires en impayés de loyer refusant de partir d'eux-mêmes après un jugement d'expulsion. Cette disposition, jugée trop répressive, a été ensuite supprimée par le Sénat qui n'est pourtant pas réputée comme progressiste. Cependant, avec cette loi, les peines encourues pour les personnes occupant des logements de « façon illicite » ont été nettement alourdies, passant d'un à trois ans d'emprisonnement et de 15 000 à 45 000 euros d'amende.
La marchandisation en marche du logement social
À peine nommé, le nouveau ministre du logement entend désormais aller nettement plus loin dans le démantèlement du droit au logement à travers un projet de loi qui sera présenté le 7 mai prochain en conseil des ministres, pour être suivi d'un premier examen au Sénat, au mois de juin.
Ce projet de loi est critiqué de toutes parts par les associations de locataires, la Fondation Abbé Pierre, l'Union sociale pour l'Habitat qui regroupe 593 organismes HLM et de nombreux élus locaux et nationaux.
Avec le soutien de l'Élysée et de Matignon, Guillaume Kasbarian veut légiférer afin d'engager l'expulsion d'une partie des locataires du parc HLM. Estimant que 8 % (on ne sait pas d'où il sort ce chiffre ?) des locataires de HLM (soit environ 400 000 familles) ont des revenus désormais trop élevés pour être encore éligibles au logement social, a décidé de s'en prendre au « logement à vie » dans le parc social locatif dans une interview donnée au journal LES ECHOS le 11 avril dernier.
Lire la suite dans le Communiqué INDECOSA-CGT en téléchargement
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Jeudi 25 avril 2024 : mobilisons-nous pour en finir avec les mort•es et les blessé•es au travail
17 avril, par baille — Hygiène, sécurité, conditions de travailDans le cadre de la journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail, la CGT organise des mobilisations partout en France le 25 avril. Avec toutes ses organisations, l'UFSE-CGT appelle les agent.es à participer activement à ces initiatives.
Pour l'amélioration des conditions de travail, prévenir des maladies et accidents graves, les décès au travail, la CGT revendique notamment :- le renforcement de la protection des travailleur•ses et le respect du droit de retrait ;
- le retour des CHSCT avec des prérogatives étendues en lieu et place de simples formations spécialisées des CSA, ce qui nécessite l'abrogation de la loi de transformation de la Fonction publique de 2019 ;
- une politique pénale du travail sévère et des condamnations des employeurs responsables d'accidents graves au travail ;
- l'interdiction du recours à la sous-traitance pour les activités à risques et le renforcement des responsabilités et la condamnation des donneurs d'ordre ;
- un renforcement de la réglementation pour protéger la santé et la sécurité des salarié•es ;
- un nombre suffisant d'inspecteur•ices du travail, le renforcement des effectifs de contrôleur•ses Carsat (Sécurité sociale) et l'élargissement de leurs prérogatives coercitives (arrêt de chantiers et travaux dangereux) ;
- l'indépendance de tou•tes les acteur•ices de la santé au travail, y compris des médecins du travail et des équipes des services de prévention et de santé au travail ;
- la suppression des jours de carence pour toutes et tous ;
- l'éradication de l'amiante.
Dans la Fonction publique, l'amélioration des conditions de travail exige des créations d'emplois partout où c'est nécessaire, l'égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes, la reconnaissance pécuniaire des qualifications des agent.es, la défense et l'amélioration de leurs droits statutaires et particuliers.
Les Assises pour la sécurité et la santé des travailleur.ses des 13 et 14 mars dernier, organisées à Paris par la CGT, FSU et Solidaires ont appelé à se mobiliser le 25 avril.
En Ile-de-France, la Fédération CGT de l'Équipement et de l'Environnement appelle à une journée de manifestation nationale à Paris.
La confédération CGT, l'Union régionale d'Ile-de-France CGT et déjà d'autres fédérations CGT, comme celles de la Construction-Bois-Ameublement et du Spectacle, appellent à participer à cette manifestation nationale :
Départ jeudi 25.04.24 à 14h du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires [246 Bd Saint Germain Paris VII (Métro Rue du Bac)]
Arrivée Ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités [127 rue de grenelle Paris VII]L'UFSE-CGT appelle tous les agent.es du versant de l'Etat à y participer.
Soyons toutes et tous mobilisé.es sur l'ensemble du territoire pour l'amélioration de nos conditions de travail et pour gagner sur nos revendications.(L'UFSE-CGT a déposé un préavis de grève la période du 15 avril au 15 septembre 2024https://www.cgtetat.fr/IMG/pdf/2024...)