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jeudi 19 octobre 2006

Les infos du syndicat CGT FERC Sup de l’Université Toulouse - Jean Jaurès.

2 lettres ouvertes au Président de l’UTM

Précarité

le 16 octobre 2006
lettre ouverte à Monsieur le Président de l’UTM

Monsieur le Président,

Dans notre Université, plus de 130 collègues occupent un emploi à caractère permanent (Art. 3 du Statut de Fonctionnaires) mais ne bénéficient pas de la garantie statutaire de l’emploi. Une partie de ces collègues subit un temps partiel imposé (70% voire 50%). Ils, elles subissent la double peine : précarité de l’emploi et salaire inférieur au SMIC mensuel.

Lors du mouvement contre la précarité (CPE), une revendication a rassemblé toutes les composantes et les services de l’Université concernant les " emplois précaires et temps partiel imposé à l’Université "

L’heure est venue d’ouvrir une négociation pour améliorer la situation des collègues qui ont, par " délégation " de l’Autorité de Tutelle, l’Université comme employeur.

Nous vous rappelons qu’aucun nouveau recrutement n’est acceptable tant qu’un agent déjà en place se voit imposé un temps partiel.

Monsieur le Président, négocions maintenant pour la résorption de ces inégalités.

Veuillez croire, Monsieur le Président à notre dévouement pour l’université service public et à notre détermination à défendre les personnels.

le syndicat FERC-Sup CGT de l’UTM


BUFR de "Lettres, Philosophie, Musique"

le 18 octobre 2006
lettre ouverte à Monsieur le Président de l’UTM

Monsieur le Président,

Nous souhaitons vous alerter sur les dysfonctionnements de la BUFR de l’UFR " Lettres, Philosophie, Musique ".

En effet, malgré une décision du Conseil de l’UFR (7/06/05) établissant les modalités de fonctionnement de la BUFR, la situation n’a cessé de se dégrader au point qu’aujourd’hui il est constaté une forme de " harcèlement ", inacceptable par sa violence.

Jusqu’où et jusqu’à quand cette situation va-t-elle perdurer ?
Faudra-t-il un grave incident pour que cela cesse ?

Monsieur le Président, il vous appartient, c’est urgent, de rétablir la sérénité.

Veuillez croire, Monsieur le Président, à notre dévouement pour l’université service public et à notre détermination à défendre les personnels.

le syndicat FERC-Sup CGT de l’UTM