La réduction du temps de service des enseignants chercheurs à 125h (un service de 150h était conseillé avant le décret de 1984). Les enseignants chercheurs n’ont jamais bénéficié des réductions du temps de travail alors que les appels à projets mais aussi la semestrialisation augmentent leur charge de travail.
Le bénéfice pour les agents élevant seuls leurs enfants d’une réduction spécifique du temps de travail et de son aménagement.
Indemnités
Une prime mensuelle pour tousde 25% du traitement correspondant à l’échelon moyen du grade, y compris les enseignants et chercheurs.
Une indemnité compensatrice à la journée de carence (la masse salariale attribuée à l’université ne change pas, que les agents soient en arrêt maladie ou pas).
Une prime d’installation pour les nouveaux fonctionnaires anciennement contractuels à Paris (prime supprimée par le gouvernement depuis mars 2017), mais aussi pour les jeunes ingénieurs de recherche.
L’extension de la dotation d’installation pour les enseignants chercheurs et enseignants obtenue à l’UPMC à la faculté des lettres.
Le maintien de la prime de fin d’année à 1200 euros, non proratisée (la majorité des temps partiels sont des femmes).
Une véritable rémunération des heures supplémentaires, et la revalorisation du paiement de ces heures en limitant leur nombre afin de créer les postes de titulaires nécessaires.
Le paiement des jours de grève : nous devons rattraper le travail non fait et cela permet une plus grande équité entre BIATS et enseignants-chercheurs. Le succès d’une grève profite à tous les agents.
Contractuels
La révision de la grille de salaire des contractuels pour intégrer les nouvelles primes suite à la confrontation sociale et l’application de cette grille dès l’embauche, et pour tous les contractuels (y compris les collègues de la faculté de Lettres).
Le rétablissement de la prime de fin d’année, la seule qu’ils perçoivent, primé portée à 1200 Euros.
Nous devrons collectivement refuser et empêcher l’augmentation des droits d’inscription à 3 770 euros en doctorat et en master (2 770 € en Licence) pour les étudiants étrangers hors communauté européenne.
Pour tous
Egalité femme/homme dans la carrière et la rémunération.
Ajustement des barèmes de restauration, harmonisation des tarifs quel que soit le site ; indemnité panier pour les agents ne bénéficiant pas de service restauration.
Sécurité sur la mobilité : les agents de retour d’accident de service doivent retrouver leur poste ; les agents en congé longue durée ou en difficultés dans un service doivent avoir accès à un poste sans être mis en concurrence.