Les locaux manquent cruellement à Censier. Résultat, il est proposé, une ou deux semaines après la rentrée, de placer des cours le samedi, le soir ou hors Censier. A ce jour, des dizaines d’enseignements n’ont toujours pas de salle, des cours se tiennent dans des locaux non destinés à cet usage, ou dépourvus de tables et/ou de chaises. Des salles de 19 places sont attribuées pour des cours de 30/40/50 étudiants au mépris de la sécurité. D’un côté, il est demandé aux étudiants et enseignants de regarder sur planning.univ-paris3.fr et de l’autre de ne tenir compte que des informations des départements. Résultat de cette cacophonie, les enseignants cherchent leurs étudiants, les étudiants cherchent leurs enseignants. Et tout ce beau monde se retrouve dans les secrétariats des départements et UFR à chercher une réponse que personne n’a réellement. La mission d’enseignement n’est pas assurée correctement. Des collègues craquent ou désespèrent de ne pouvoir accomplir leurs missions dans des conditions acceptables. Cette situation n’est pas admissible. Elle était pourtant prévisible. Les mesures mises en place ne suffisent pas.
Nous attendons une réaction urgente de la direction de l’université.